4-Silences organiques

Ici, tout se fait plus doux, plus feutré. La matière est réduite à l’essentiel, presque blanche, comme si elle se dissolvait dans la lumière. Le corps devient murmure. Ces formes laiteuses laissent place à l’interprétation pure : rien n’est imposé, tout est suggéré. C’est le temps de la contemplation, de la respiration, après les chaos précédents. Une manière d’écouter ce que la matière tait.